Moussa, Paix sur lui, quitta l’Égypte et rencontra deux jeunes filles
7. Moussa, Paix sur lui, quitta l’Égypte et rencontra deux jeunes filles
Moussa, paix sur lui, quitta l’Égypte, là où il était considéré comme un prince. Il quitta la ville sans rien apporter, marcher à pied sous le soleil implorant Allah exalté de la sauver de ce peuple. Il marcha droit devant, terrifié à l’idée de se retourner et de voir des soldats lancés à sa
poursuite. Il marcha sans relâche, jusqu’à ce que ses souliers s’usent complètement et qu’il se trouve obligé de marcher pieds nus, sur le sable brûlant. Très fatigué, affamé et presque mort de soif, il se força à poursuivre son chemin, jusqu’à ce qu’il arrive à un point d’eau. Puis, il se jeta par terre, à l’ombre d’un arbre. La mort dans la chaleur accablante du désert égyptien était l’issue la plus probable du difficile périple de Moussa.
poursuite. Il marcha sans relâche, jusqu’à ce que ses souliers s’usent complètement et qu’il se trouve obligé de marcher pieds nus, sur le sable brûlant. Très fatigué, affamé et presque mort de soif, il se força à poursuivre son chemin, jusqu’à ce qu’il arrive à un point d’eau. Puis, il se jeta par terre, à l’ombre d’un arbre. La mort dans la chaleur accablante du désert égyptien était l’issue la plus probable du difficile périple de Moussa.
Après avoir marché plus d’une semaine à travers le désert brûlant, Moussa, paix sur lui, finit par arriver à Madyan, à un point d’eau où des hommes abreuvaient leurs bêtes.En arrivant à l’oasis, Moussa, paix sur lui, dut se croire au Paradis en voyant l’eau et en trouvant une ombre sous laquelle se reposer. Mais il n’était pas seul dans cette oasis. En effet, l’endroit était entouré de bergers venus abreuver leurs bêtes.Ils se bousculaient un peu, parlant fort et riant entre eux. Moussa, paix sur lui, se jeta au sol, sous un arbre, reconnaissant d’avoir enfin un peu d’ombre. Comme il reprenait son souffle, il remarqua deux femmes accompagnées de leur troupeau de moutons. Elles se tenaient à l’écart, hésitant à s’approcher du point d’eau.
Moussa, paix sur lui, était un homme d’honneur. Même s’il était exténué et déshydraté, il ne pouvait supporter de voir ces femmes se tenir à l’écart, de crainte d’être bousculées si elles tentaient de s’approcher du point d’eau. Il alla vers elles et leur demanda pourquoi les hommes de leur famille ne s’étaient pas acquittés de cette tâche. Les deux jeunes femmes expliquèrent que leur père était âgé et que la tâche de s’occuper des moutons leur revenait, désormais.Il prit alors sur lui-même de guider leurs moutons jusqu’au point d’eau, où il se fraya aisément un chemin parmi les autres hommes. Après avoir fait boire les bêtes, il s’installa à l’ombre d’un arbre, à même le sol, et se mit à prier Dieu exalté. Il dit : « Ô Seigneur, quel que soit le bien que Tu es en mesure de faire descendre vers moi, j’en ai sûrement besoin, en ce moment. »
« Quand il arriva au point d’eau de Madyan, il y trouva un attroupement de gens qui abreuvaient (leurs bêtes). Il y trouva également deux femmes qui se tenaient à l’écart en retenant (leurs troupeaux). Il leur dit : « Que faites-vous ici? » Elles répondirent : « Nous ne pouvons abreuver (nos troupeaux) qu’après le départ de ces bergers. Notre père est fort âgé. » Alors il abreuva les bêtes pour elles, puis se retira à l’ombre et dit : « Seigneur! J’ai grand besoin de tout le bien que tu pourrais faire descendre sur moi. » (Sourate 28, versets 22 à 24)
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