MOUSSA (SAW) IMPLIQUE DANS UN MEUTRE
6. Moussa, Paix sur lui, impliqué dans un meurtre
Moussa, paix sur lui, atteint sa maturité et devint donc adulte. « Et lorsqu’il eut atteint sa maturité et sa pleine vigueur, Nous lui donnâmes sagesse et savoir. C’est ainsi que Nous récompensons les bienfaisants. » (Sourate 28, verset 14)
Un jour, Moussa, paix sur lui, pénétra dans la cité de Manaf vers midi, au moment de la canicule où les gens étaient en train de faire la sieste. Il trouva deux hommes à se battre, l’un était Israélite comme lui et l’autre était du peuple copte, égyptien oppresseur. L’israélite
reconnut Moussa, paix sur lui, et l’appela à son secours. Moussa, paix sur lui, s’interposa alors et envoya un puissant coup de poing à l’Égyptien. Ce dernier s’écroula et mourut quasi instantanément. Moussa, paix sur lui, fut submergé de chagrin, il n’avait pas fait par express pour le tuer. Il connaissait sa force extraordinaire, mais jamais il n’aurait cru être capable de tuer quelqu’un d’un seul coup de poing. Il implora Dieu exalté de le pardonner.
Un jour, Moussa, paix sur lui, pénétra dans la cité de Manaf vers midi, au moment de la canicule où les gens étaient en train de faire la sieste. Il trouva deux hommes à se battre, l’un était Israélite comme lui et l’autre était du peuple copte, égyptien oppresseur. L’israélite
reconnut Moussa, paix sur lui, et l’appela à son secours. Moussa, paix sur lui, s’interposa alors et envoya un puissant coup de poing à l’Égyptien. Ce dernier s’écroula et mourut quasi instantanément. Moussa, paix sur lui, fut submergé de chagrin, il n’avait pas fait par express pour le tuer. Il connaissait sa force extraordinaire, mais jamais il n’aurait cru être capable de tuer quelqu’un d’un seul coup de poing. Il implora Dieu exalté de le pardonner.
«Un jour, il entra dans la ville à un moment où ses habitants avaient relâché leur vigilance. Il y trouva deux hommes en train de se battre; l’un était de son clan, tandis que l’autre faisait partie d’un groupe ennemi. L’homme de son clan l’appela au secours contre leur ennemi commun. Alors Moïse asséna [à cet ennemi] un coup de poing qui l’acheva. Puis il se dit : « C’est là l’œuvre de Satan, ennemi juré (des humains), qu’il se plaît à égarer. » Et [s’adressant à Dieu], il dit : « Seigneur! Je me suis fait du tort à moi-même. Pardonne-moi! » Alors Dieu lui pardonna, car c’est Lui, vraiment, le Pardonneur, le Miséricordieux. Puis Moïse dit : « Seigneur! Puisque Tu m’as ainsi favorisé, jamais plus je ne soutiendrai les criminels. » » (Sourate 28, versets 15 à 17)
Après cet incident, Moussa, paix sur lui, eut peur que Pharaon et ses soldats sussent que le meurtre ait été commis par lui en venant au secours à un israélite. Toutefois, les autorités ne surent pas, ce jour-là, que Moussa, paix sur lui, avait été impliqué dans la mort de cet homme. Le lendemain, il se promenait dans la ville avec la peur, il vit le même Israélite impliqué dans une autre bagarre avec un autre Égyptien. Il comprit que l’Israélite était un faiseur de troubles et s’approcha de lui pour lui reprocher son comportement. L’Israélite vit Moussa, paix sur lui, se diriger dans sa direction et, pris de peur, cria : « Vas-tu me tuer comme tu as tué ce misérable, hier? » En entendant cela, son adversaire, l’autre Égyptien, retourna et alla dénoncer Moussa, paix sur lui, aux autorités. Plus tard, ce jour-là, une personne vint voir Moïse pour lui dire que les autorités avaient décidé de l’arrêter et qu’elles allaient probablement le condamner à mort pour son crime de la veille.
« Le lendemain matin, il se trouva en ville, craintif et regardant de tous côtés, quand soudain, celui qui, la veille, l’avait appelé au secours, l’appela à nouveau à grands cris. Moïse lui dit : « Tu es décidément un égaré! » Et il allait s’attaquer, (à nouveau), à leur ennemi commun, lorsque ce dernier s’écria : « Ô Moïse! Veux-tu donc me tuer comme tu as tué un homme, hier? Tu ne serais alors qu’un tyran, sur terre, et non un homme de bien. » C’est alors qu’un homme vint du bout de la ville en courant et dit : « Ô Moïse! Les notables sont en train de se concerter à ton sujet et ta mort est déjà décidée! Quitte (la ville) : c’est un conseil sincère que je te donne. » Alors Moïse s’enfuit, craintif et sur le qui-vive. Il dit : « Seigneur! Sauve-moi de ce peuple injuste! » » (Sourate 28, versets 18 à 21)
Moussa, paix sur lui, quitta immédiatement la ville, sans même prendre la peine de retourner chez lui pour prendre des vêtements ou préparer des provisions. Il marcha à pied dans le désert, en direction de Madyan, situé, à l’époque, entre la Syrie et l’Égypte le cœur rempli d’angoisse.
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